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Westfalia is back ! Comme le prouve son remarquable et nouveau Club Joker, l’aménageur allemand n’a rien perdu de sa capacité d’aller de l’avant et d’éveiller notre curiosité.
Les liens très forts qui unissent Volkswagen et Westfalia remontent aux années 50, c’est-à-dire aux premières heures du camping-car, lorsque l’entreprise allemande aménagea un VW T1 pour le compte d’un officier anglais. Le succès fut immédiat et planétaire. Au cours des soixante années suivantes, probablement plus de 400 000 véhicules transformés par Westfalia furent des Volkswagen !

L’apogée de cette époque bénie fut sans doute atteinte avec la sortie du Club Joker en 1983 sur VW T3. Les prestations et le confort assez rudimentaire font aujourd’hui sourire, au regard du nouveau Club Joker, présenté en septembre 2012, et dont l’aménagement apparaît d’une étonnante modernité, voire d’une extrême sophistication. Encore une fois, Westfalia marque les esprits et semble en avance sur son temps.

À l’inverse de ses concurrents directs, l’entreprise de Wiedenbrück mise sur des ambiances sobres et élégantes, claires et lumineuses, qui évoquent incontestablement l’automobile et l’habitat contemporain. Dans la conception du mobilier, le contreplaqué n’est pas abandonné, mais il s’habille d’un stratifié haut de gamme qui brille et se joue de la lumière. D’autres matériaux comme l’inox font leur entrée dans le Club Joker, nouvelle génération.

Une foule d’innovations
Ce souci esthétique ne serait rien si le Club Joker n’était pas irréprochable sur le confort, les services et les fonctionnalités. Les détails sont nombreux et mériteraient tous d’être commentés : cinq larges tiroirs de cuisine, logement spécifique de la table dans l’épaisseur de la porte coulissante, compartiment toilette modulable, marche amovible d’accès au lit haut, receveur de douche à l’italienne conçue dans la hauteur du double plancher, chauffage à eau chaude et convecteurs (option), ou encore la position haute du réfrigérateur à compression. On le voit, beaucoup d’innovations centrales sont réunies dans un aussi petit véhicule (5,29 m).

Faute de retenir la banquette convertible en option, vous n’aurez pas d’autre alternative que de dormir sur le lit sous pavillon, monté non pas sur vérins comme d’ordinaire mais sur deux rails de guidage. Les deux éléments composant le sommier sont superposés dans la journée et alignés le soir venu. Autrement dit, la mise en place du lit s’apparente à l’ouverture d’un tiroir. Grâce à ce dispositif convaincant et éprouvé, loin d’être inédit, le lit de pavillon laisse entrer la lumière zénithale et libère toute la hauteur disponible, contrairement à un modèle de lit plaqué au plafond. Évidemment, il faut prévoir des draps adaptés à ce mouvement du sommier.

D’une manière générale, la position debout est toujours possible, quel que soit l’endroit où l’on se trouve, y compris dans la douche (185 cm). C’est un atout évident au quotidien.

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