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Nouveau venu dans l’univers du véhicule de loisirs, Antilope Van fait le pari du van ultra-équipé à prix très serré sans transiger sur la qualité. Pour ce faire, l’aménageur breton peut compter sur un outil de production semi-industriel déjà très performant, une équipe jeune et dynamique particulièrement investie ainsi que des partenaires de proximité qui l’accompagnent dans son développement.

À Coëtmieux dans les Côtes-d’Armor, le long de la N12, dans un alignement parfait, une ribambelle de Renault Trafic attend patiemment son tour d’être aménagée. À l’arrière, la façade bleu vif capte l’attention.

Parti d’une page vierge en avril 2021, Antilope Van n’a pas chômé ! En moins de deux ans, une usine flambant neuve se tient là, une équipe d’une quarantaine de personnes a été constituée, deux modèles de van ont été développés et un réseau de presque 40 points de vente a été établi.

Devant l’usine Antilope Van, un bon stock de châssis pour voir venir ! Il faut bien ça pour assurer l’objectif que l’aménageur s’est fixé : 350 vans aménagés pour 2023.

Une aventure collective

L’équipe d’Antilope Van grandit vite pour accompagner le développement de l’entreprise. Ils étaient 23 il y a quelques mois (photo ci-dessus), ils seront bientôt 40.

Des locaux spacieux, une ambiance studieuse en même temps que chaleureuse, du matériel de pointe… Chaque personne que l’on croise ici semble ravie de faire partie de l’aventure.

Prônant la compétence et l’esprit d’équipe avant tout, Antilope Van est allé chercher chacun de ses collaborateurs en personne, pour son expertise et sa valeur ajoutée propre. L’ensemble du service technique du bureau d’études, notamment, est issu de l’univers du véhicule de loisirs.

L’entreprise, qui a eu l’opportunité de se structurer en même temps que ses capacités de fabrication augmentaient, peut se targuer de disposer d’une véritable usine. L’ensemble des étapes de l’aménagement d’un van sont réalisées sur place, de la préparation du châssis à la fabrication du mobilier en passant par l’isolation ou la pose du toit relevable.

Dans l’usine, les Flex 3 en cours d’aménagement s’alignent sur toute la longueur du bâtiment. Dès la première année d’activité, Antilope Van en a produit 200. © Loïc Lebreton

Organisée en trois pôles (magasinage / menuiserie / assemblage), la production fait l’objet de process ultra-rigoureux. Gestion des stocks, codification et traçabilité des composants, ordres de fabrication, multiples contrôles qualité …, autant de garde-fous qui permettent à la fois de garantir un niveau de qualité constant et un tarif client final parfaitement affuté.

« En fait, nous sommes une PME qui associe esprit “start-up“ et organisation industrielle », résume Sara Boggio, responsable Marketing.

Un ancrage économique très local

Parmi les valeurs que la marque souhaite défendre, sa dimension éco-responsable est loin de n’être qu’un argument de communication. Elle privilégie les circuits courts dès lors que cela est possible et nombreux sont les fournisseurs installés en Bretagne ou dans les Pays de la Loire.

« En termes de coût et de qualité, les circuits courts sont parfaitement compétitifs. En plus de favoriser l’économie locale, ils nous permettent une meilleure maîtrise de l’approvisionnement et une réactivité sans égale. Nos fournisseurs locaux et régionaux sont de véritables partenaires qui participent pleinement au développement d’Antilope Van », revendique Jean-Luc Prod’homme, responsable technique de la marque. « Sur notre nouveau modèle, le Flex 5, 50 % de la production est locale, 70 % française et 90 % européenne. Pour les 10 % restants, il n’existe malheureusement pas d’alternative ».

Au cœur de l’atelier menuiserie, la machine à commande numérique garantit la précision des découpes. Elle permet aussi d’optimiser la surface exploitée de chaque panneau bois et ainsi d’éviter le gaspillage.

Plus concrètement, on peut citer le toit relevable (développé par Antilope Van) et les faisceaux électriques fabriqués en Bretagne. La toile du toit relevable tissée en France et transformée en Normandie. Le bois de peuplier issu de forêts sarthoises gérées en écoresponsabilité et transformé dans les Côtes d’Armor. Etc., etc.

Un suréquipement inédit

Sans chercher à brûler les étapes, Antilope Van propose pour l’heure deux modèles de van :

  • le Flex 3, un van 3 places sans toit relevable sur base Renault Trafic 130 ch à l’aménagement démontable en 15 minutes à 44950 €
  • le Flex 5, un van 5 places avec toit relevable sur base Renault Trafic 150 ch à l’aménagement fixe à 59950 €

« Notre volonté, c’est de présenter au client un produit véritablement clé-en-main, qui se détache de ses concurrents sur le plan de l’équipement. C’est sur ce point précis que nous voulons faire la différence, avec un tarif affiché qui n’est pas un tarif de départ mais bien un tarif “final” », précise Sara Boggio.

Un van tout équipé, c’est l’assurance de partir l’esprit léger avec le meilleur niveau de confort. © Garnier

La liste se révèle effectivement ultra-complète. Côté porteur, le Renault Trafic version Grand Confort inclut notamment l’éclairage FULL LED, la caméra de recul et les radars de stationnement avant et arrière ainsi que l’écran tactile 8″ avec réplication AndroidAutoTM et ApplecarplayTM.

Si les deux modèles n’affichent pas précisément la même dotation, rien n’est laissé au hasard selon l’usage auquel ils se destinent. Tous deux embarquent un panneau solaire et un convertisseur 12/220 V. Auxquels le Flex 5 ajoute chauffage, chauffe-eau, batterie lithium et W.-C. portable.

Antilope Van va même jusqu’à fournir les équipements de plein air. Auvent latéral, auvent de hayon arrière, fauteuils de camping…, quand on vous dit tout équipé, c’est vraiment TOUT équipé !

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